Prépuce et circoncisions
la découverte de la dure réalité

        Le prépuce, cette peau incroyablement extensible qui recouvre normalement le petit bout du sexe de l'homme en le protégeant contre toutes les atteintes extérieures, m'a été enlevé le jour de ma naissance sous le fallacieux prétexte de propreté.

        N'ayant aucune référence sinon la mienne, j'ai longtemps considéré que le sexe circoncis était beau et donnait une apparence certaine de virilité, se concrétisant par des rapports d'une longueur qui faisaient pâlir de jalousie tous mes copains et en ravissant les intéressées.

        Et puis comme il est dit partout, un sexe éternellement décalotté ne représente t'il pas l'image de la
virilité et dans toute sa magnificence, celle du phallus toujours prêt a saillir ?

        Et effectivement du point de vue propreté, aucune odeur, pas plus qu'aucun résidus de fibres diverses venues s'y réfugier, ni la moindre trace d'urine puisque cette peau avec ses replis n'existe plus.

        Ainsi donc j'ai toujours pensé que j'étais dans la tranche de ce qui se faisait de mieux comme prétendant à l'acte sexuel vis-à-vis de toutes mes conquêtes en vantant à qui voulait bien l'entendre les bienfaits de la circoncision.

        Excepté que je n'ai jamais aimé, donc souvent refusé une partie des préliminaires qui m'étaient destinés et qui sont toujours restés sans effets appréciables.

        A cela deux raisons, la trop fragile cicatrice qui s'est déjà rouverte a deux reprises avec les saignements et douleurs qui s'en suivent et qui perdurent quelques jours.  Les craintes d'y voir apporocher le danger représenté par des des mains extérieures,  mais aussi à cause du manque de peau ne pouvant accompagner certaines "caresses" qui parfois me blessent.

        Un soir, ce fût la révélation de la dure vérité, alors que toute notre joyeuse bande d'amis fêtait les anniversaires d'un copain et de moi- même dans un " club restreint ", nous avons eu l'idée saugrenue de louer les services d'une "hôtesse", pour bien marquer notre entrée dans le monde des adultes et des majeurs !

        Mais voilà le "dill" était cette nuit là, de monter à deux avec la même fille totalement consentante bien évidemment, pour faire en sorte de l'honorer simultanément, ce qui fût fait.

        A maintes reprises j'ai vu mon copain d'enfance "s'envoyer en l'air" sous le simple effet de caresses appuyées et de savantes fellations.

        Chaque fois, cette même femme avec les mêmes gestes, cette même bouche, ces mêmes mains, ce même corps, dans les mêmes conditions, strictement au même endroit lorsque ce fût mon tour, m'a laissé pratiquement de marbre,  alors que dans les minutes précédentes elle avait enflammé mon copain.

        Pour le coït ce fut exactement la même chose, mon copain "courrait sur les murs" ou "marchait au plafond" comme l'on dit, alors qu'à mon tour dans les mêmes positions, je me démenais avec bien peu de sensations pour conclure rapidement ma prestation, afin d'essayer de rester dans les normes de temps de mon copain de crainte de le dévaluer aux yeux de cette fille.

        Ce soir là, hormis l'effet psychique normal,  j'ai compris par le visu que j'étais nul en tout devant ce spectacle de jouissances physiques incessantes auquel je ne pouvais prétendre m'associer, parce que mutilé à la naissance alors que je me croyais presque un dieu du sexe, jalousé par mes copains y compris celui-là, a cause de la longévité de mes rapports et de ma pseudo virilité.

        J'ai vu et constaté toute l'utilité du prépuce que cette professionnelle du sexe faisait habilement courir sous ses doigts, se déplier couvrir et découvrir d'une manière experte l'extrémité rougeoyante et même violacée, prête a éclater, de l'anatomie intime de ce copain et également constaté la haute satisfaction ainsi procurée.

        Chez moi, point de peau à retrousser, parceque toujours découvert, quand à la couleur, point de rouge violacé mais pratiquement la même couleur que celle de la verge, due aux effets de la kératinisation et regretté le si peu d'effets ressentis.

         Seul moment d'extase commun, de même niveau sensitif fût celui de "l'explosion finale" qui ne dure que si peu de temps, ou ni lui ni moi n'étions plus maîtres de nos corps.

         Mais il faut bien savoir que la jouissance pendant l'éjaculation n'a strictement rien à voir avec la circoncision, puisqu'il ne s'agit que de spasmes intérieurs.

       Ainsi à partir de ces instants, j'ai eu toutes les références qui me manquaient pour me rendre
      compte à mes dépends, des effets plus que néfastes de la circoncision dans tous les moments de
      ma vie sexuelle.

Jamais je ne l'aurais cru si je ne l'avais de mes yeux vu !

 


        Je ne suis pas médecin, ni expert urologue ni spécialiste en circoncision, mais j'ai tout simplement constaté qu'il ne s'agissait pas d'une simple petite et bénéfique désensibilisation comme proclamé partout.
        J'ai essayé de comprendre en me renseignant aussi bien sur le Net qu'auprès de spécialistes français et étrangers, pourquoi après avoir été circoncis bébé, j'ai constaté que je n'avais presque pas de plaisirs sexuels par rapport aux hommes restés intacts.
        C'est pour cela que j'ai mis en ligne tout ce qui m'a été indiqué et qu'obligatoirement j'ai constaté et vérifié et que je certifie.


   Vous ne me croyez pas, si vous en avez le courage faites, cette expérience qui vous ramènera à la dure réalité de votre mutilation
et seulement après, vous pourrez affirmer ou infirmer !



 

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pour me contacter si vous n'avez pas bien compris

anti.circoncision@free.fr